L'étage du risque
Le treizième étage de Louis-Jean Cormier
Camille-Lily BOUCHARD
Louis-Jean Cormier est auteur, compositeur, interprète, musicien et réalisateur. Né d’une famille mélomane à Sept-Îles le 26 mai 1980, il est plongé dans le monde de la musique dès son enfance. En effet, à son quatrième anniversaire, sa marraine lui apprend à jouer du piano classique. Plus vieux un peu, il apprend à jouer de la guitare [1]. Il a aussi suivi de nombreux cours de littérature musicale [2].
À quinze ans, il se joint au groupe Kalembourg et il effectue la tournée des bars de sa région natale ; la musique du groupe laisse ses traces encore aujourd’hui, principalement sur la Côte-Nord. Le départ aux études de Cormier au cégep dans la grande métropole marque la fin du groupe Kalembourg. C’est l’année suivante que le groupe Karkwa, composé de Cormier ainsi que de quatre de ses amis, voit le jour. En 2010, le groupe gagne le glorieux prix Polaris pour l’album Les chemins de verre ; c’est le premier groupe francophone à décrocher ce prestigieux prix.
Entre 2008 et 2010, Louis-Jean Cormier prend part, en tant qu’interprète et à titre de réalisateur, au collectif Douze hommes rapaillés rendant hommage au poète Gaston Miron ; les textes de Miron ont influencé sa façon d’écrire, notamment dans l’album qu’il produit peu de temps après. En 2012, la carrière de Cormier prend d’ailleurs un nouveau tournant avec cet album : il se lance dans une carrière solo, avec l’aide d’un nouvel acolyte, Daniel Beaumont [3].
Beaumont est à la source un rédacteur et concepteur travaillant dans le domaine de la publicité. Il a contribué à l’écriture des chansons du duo Tricot Machine, composé de son frère Mathieu Beaumont et de la conjointe de celui-ci, Catherine Leduc. À la suite du dernier album du groupe en 2010, il croyait bien qu’il n’aurait plus l’occasion d’user de son talent de parolier, sauf dans ses temps libres. Toutefois, un courriel de Louis-Jean Cormier lui fera constater le contraire : sa carrière de parolier professionnel n’était pas terminée. En effet, Cormier l’a approché en lui disant qu’il aimait sa façon d’écrire et qu’il avait quelques problèmes avec l’écriture de certaines de ses chansons : «Il voulait une écriture mieux ancrée dans le concret, une poésie sans les grands mots» [4]. Les deux hommes se sont rencontrés pour travailler ensemble, et rapidement, ils ont développé un fort lien qui aura mené à la réalisation de l’album Le treizième étage. Cormier lui a même attribué le titre de directeur artistique de l’album, l’ayant consulté pour pratiquement tous les aspects entourant la réalisation de l’album : «En bout de ligne, il m'a dit que ce que j'avais fait, c'était exactement le travail de directeur artistique et que ça méritait d'être reconnu.[5]».
Autrement, c’est la lancée de mouvements de révolte, de manifestations du Printemps érable de 2012 qui ont inspiré Cormier dans la composition de son premier album solo :
C’était l’aube du printemps québécois, on parlait de ça, Stéphane [Archambault]
a lancé une phrase qui m’est rentrée dedans comme jamais : «Tous les grands
soulèvements populaires, ça a été orchestré par des artistes, et moi, je trouve
qu’en ce moment, on fait rien.» Ça a fait ting! dans ma tête. Je me suis trouvé
passif. Ça m’a pas fait écrire des chansons partisanes, mais plus engagées socialement.
Des chansons qui constatent, qui posent des questions, qui regardent le présent et l’avenir[6].
Tout était désormais en place pour ériger Le Treizième étage.
Une pochette sans trop d’artifices
À premier abord, la pochette de l’album n’est pas très excentrique. En effet, teintée de nuances de gris et de beige en grande majorité, avec comme seule image en couverture le portrait de Louis-Jean Cormier pensif, le regard vers le sol, cette pochette annonce un album très sobre.
Le titre de l’album, Le treizième étage, fait référence au treizième étage d’un édifice, représentant l’étage interdit : par superstition, cet étage n’est généralement pas identifié comme tel dans un édifice ni dans l’ascenseur qui y donne accès. L’une des pistes de l’album, la numéro 8, se nomme d’ailleurs «L’ascenseur». Au dos de la pochette, les numéros des chansons de 1 à 12, inscrits dans un cercle blanc, imitent les boutons qu’on retrouve sur panneau de contrôle d’un ascenseur. Un autre élément intéressant est que, bien qu’il y ait douze chansons sur l’album, on retrouve quand même le bouton numéro 13, lui coloré en noir et barré, comme s’il était inexistant. Cependant, juste le fait de l’avoir inscrit tout de même est assez significatif, c’est un nombre chargé de sens. En effet, dans une grande partie de l’Occident, le nombre 13 a mauvaise réputation ; il apporte la malchance [7]. Annemarie Schimmel, enseignante à Harvard et autrice du livre The Mystery of Numbers, affirme que «le 12 est en effet considéré comme un nombre parfait : les 12 divinités de l'Olympe, les 12 constellations du zodiaque ou encore les 12 travaux d'Hercule sont autant de situations qui confèrent au nombre une dimension parfaite et sacrée, une symbolique de la complétude. S'y ajoutent les 12 mois de l'année, les 12 heures du jour et 12 heures de la nuit... […] Et puisque 13 suit 12 de 1 seulement, il est au-delà de la complétude : il est jugé peu fiable et opposé au divin, et par extension maléfique[8]» Le fait que Cormier ait nommé son album Le treizième étage a certainement un lien avec cette idée : se séparer de son groupe et se lancer dans une carrière solo représente un énorme risque en soi, c’est en quelque sorte se poser sur l’étage du risque, le treizième.
Par ailleurs, dans le livret, on observe la présence d’un mystérieux tricycle rouge dans un décor urbain, le seul élément comportant une touche de couleur sur la pochette. Le rouge évoque-t-il le Printemps érable qui a inspiré Cormier ? Le tricycle est-il associé à la critique de la société actuelle qu’il fait, comme si l’avenir des enfants était menacé?
Au final, on peut dire que la pochette n’en dit pas long sur les textes et l’ensemble des thèmes abordés. Il faut l’écouter pour prendre conscience du travail d’écriture derrière le produit final.
Une société à l’image d’une cabine d’ascenseur
Le treizième étage présente des textes très recherchés et profonds. On retrouvait déjà cette recherche esthétique dans les noms mêmes des groupes précédents de Louis-Jean Cormier. Notamment, le nom Kalembourg est l’orthographe dérivé du mot «calembour», qui se définit comme étant un «jeu de mots construits sur l’équivalence sonore de mots différents [9]». Aussi, le nom du groupe Karkwa vient du mot «carquois», qui est en fait un «étui utilisé pour ranger des flèches [10]». Et l’expression «lancer une flèche à quelqu’un» fait référence à un «trait d’esprit critique de manière plus ou moins masquée ; attaque, raillerie [11]» : ainsi, l’image de la flèche est une métaphore qui illustre la mission d’un groupe, soit de passer un message, en plus de rappeler la préoccupation esthétique de celui-ci.
Dans les chansons de l’album Le treizième étage, on remarque un fort esprit critique, qui semble nourri par le contexte de parution de l’album, celui du Printemps érable. Il s’agit d’un des mouvements marquants au Québec de l’année 2012. C’est en février qu’une série de manifestations et de grèves étudiantes ont vu le jour. Les manifestants s’opposaient à la hausse des frais de scolarité mis en place par le gouvernement libéral de Jean Charest à l’époque. Cette crise sociale s’est étendue sur de nombreux mois. On considère d’ailleurs cette grève comme étant la plus longue grève étudiante de l’histoire du Québec et du Canada [12]. De nombreuses manifestations sont organisées dans les rues des grandes villes de la province, telles que Montréal et Québec. Le 22 mars 2012 se tient une manifestation dans les rues de Montréal regroupant entre 100 000 et 200 000 étudiants. À ce moment, près de 310 000 étudiants sur 400 000 sont en grève ; ils portent fièrement le fameux carré rouge, symbole de la lutte contre la hausse des frais de scolarité. Des personnalités artistiques telles que Paul Piché, les membres du groupe Les Cowboys fringants, l’animateur Guy A. Lepage ainsi que la réalisatrice Paule Baillargeon ont appuyé publiquement les étudiants. Aussi, un manifeste en solidarité avec le mouvement a récolté près de 200 signatures provenant d’individus du monde syndical, de la communauté artistique et de la sphère politique [13]. Finalement, le gouvernement Charest a perdu aux élections de septembre 2012 et la nouvelle Première Ministre, Pauline Marois, pris la décision d’annuler la hausse des frais de scolarité [14].
Louis-Jean Cormier dit avoir été inspiré par cette vague de mobilisation des jeunes dans les rues, ce qui l’a poussé à s’engager davantage: «Je viens d’une génération qui n’a jamais levé la main. On n’est jamais sortis dans les rues, on n’a pas connu de grosses manifs. Là, c’est ta nation, ta politique, ton avenir. J’ai été vraiment touché par ça et j’ai un peu compris ce que certains de mes confrères des Hommes rapaillés ont vécu à la fin des années 60 et au début des années 70. Je retrouvais Gaston Miron là-dedans, aussi. D’un coup sec, à 32 ans, je me suis rendu compte que j’étais passif depuis un bout [15].»
En ce sens, certaines chansons de l’album Le treizième étage ont été inspirées par le mouvement du Printemps érable. On y retrouve notamment une critique de la société actuelle sous de nombreux aspects. Tout d’abord, Cormier dénonce le contenu vide du discours ambiant, comme on le perçoit dans sa pièce «La cassette» :
Toujours la même cassette
Les clichés se répètent
[…]
Des cordes de langues de bois
On comprend, à l’aide des mots «toujours la même cassette», que ce sont toujours les mêmes informations qui tournent sans arrêt, comme s’il n’y avait qu’un discours qui revenait encore et encore, comme une cassette qui tourne en boucle. De plus, quand on dit «les clichés se répètent», on s’imagine que ce sont toujours les mêmes informations banales, les phrases déjà toutes faites qu’on répète. En bref, les mêmes choses sont dites encore et encore sans changements, sans nouveaux apports, sans réelle profondeur.
De plus, un peu plus loin dans cette chanson, on note une figure de style qui renforce cette idée : «des cordes de langues de bois». Ici, on retrouve un mélange des expressions «corde de bois» et «langue de bois». D’une part, quand on pense à une corde de bois, on pense à de nombreuses bûches de bois coupées et empilées les unes par-dessus les autres ; on comprend qu’il y en a beaucoup. D’autre part, l’expression «langue de bois» fait référence à un discours rempli de stéréotypes, un discours qui ne répond pas au problème présenté ou par lequel on évite de dire les choses avec précision. Lorsqu’on rapporte l’expression au sens de la chanson, on comprend qu’il veut dire qu’il n’y a pas que quelques personnes qui tiennent un discours vide, qui ont une «langue de bois», il y en a des cordes.
Aussi, Cormier critique le fait que les gens agissent de façon similaire, de façon à devenir un peu anonymes. Les vers suivants illustrent cette idée dans la chanson «Bull’s eye» :
Et comme dans toutes les histoires
On se perd dans la masse, en sens contraire
C’est dire en quelque sorte que les gens se «fondent dans le groupe» : ils en viennent un peu à perdre leur identité personnelle, ils sont comme tous les autres, bien qu’ils tentent de faire différent, d’être en «sens contraire». Ils sont absorbés par le groupe.
On remarque également une critique des valeurs de la société nord-américaines et par le fait même, celles qui caractérisent en partie les Québécois. D’abord, Cormier met en scène une société individualiste, où beaucoup des décisions sont prises dans le but de favoriser le bien personnel au détriment du bien commun ; chacun fait ses «petites affaires» de son côté, sans vraiment tenir compte des autres. D’ailleurs, en pensant à la panoplie de talk-shows et d’émissions dans lesquels les gens sont invités à partager leurs points de vue, on constate que l’opinion de tous s’équivaut désormais. Certainement, la technologie omniprésente y est pour quelque chose : chacun sur son téléphone, tous dans la même pièce, mais aucune réelle discussion à l’horizon :
On joue au solitaire
Tout le monde en même temps
Dans cet extrait, le fait d’opposer deux choses qui ne vont normalement pas de pair, soit de jouer au solitaire et tout le monde en même temps, en dit long sur la société actuelle : tout le monde vit sa vie de son côté, sans vraiment se soucier des autres. Dans les chansons de Cormier, une autre valeur reliée à l’individualisme est dénigrée, soit l’importance qu’on accorde à l’apparence :
Y ont mis des miroirs
Dans l’ascenseur
Depuis y a plus personne qui se plaint
De sa lenteur
Le simple fait de placer des miroirs dans l’ascenseur rend le monotone quotidien plus acceptable : le temps semble passer plus rapidement pour ceux qui regardent leur reflet. On comprend alors qu’actuellement, on accorde beaucoup d’importance à notre personne, à ce qu’on dégage : on est si «ébloui» par notre apparence que le temps s’efface. Par ailleurs, la société décrite par Cormier est aseptisée, embellie. Elle a perdu de son originalité, de sa sensibilité :
J’haïs ça les happy ends
[…]
J’haïs ça quand tu m’aimes
[…]
J’haïs ça quand c’est beau
Tellement beau que ça sonne faux
On remarque ici de nombreuses oppositions : haïs / happy ends, haïs / aimes, haïs / beau. Cela a comme effet d’imager une certaine contradiction du protagoniste, car il déteste ce que la majorité aime. Il établit une distanciation par rapport à la société, il se place à contre-courant de cette dernière. Ainsi, plusieurs des chansons de l’album Le treizième étage renvoient une image désolante de la société actuelle, une société individualiste et plutôt artificielle.
L’occasion de descendre au treizième étage
En raison de cette société décevante, Louis-Jean Cormier semble amorcer une quête sur cet album. En effet, à la suite des critiques, il ne désire plus rester impassible devant ce qu’il décrit, il décide d’opter pour le changement ; il choisit le mouvement en prenant «l’ascenseur». On remarque cet état d’esprit dans le thème du mouvement qu’il est possible d’observer dans l’album par la présence de nombreux mots tels que : «balances», «soulevait», «descend», «saute», «danse», «valse». Le fait d’avoir recours à un mot tel que «balances» illustre ce mouvement et le mot «danse» aussi : quelqu’un qui danse est tout le contraire de quelqu’un d’immobile, ses bras et ses jambes bougent au rythme de la musique.
On observe aussi le thème du déséquilibre qui accentue cette impression de mouvement, ce refus de l’immobilisme. Dans la chanson «Le cœur en téflon», il est dit : «Dans lequel je marche sur un fil de fer». Tel un funambule, le fait de marcher sur un fil de fer traduit un équilibre précaire ; marcher sur quelque chose d’instable ne laisse pas beaucoup de marge d’erreur. Cette métaphore est un clin d’œil à la volonté de Cormier de sortir de l’immobilisme, car il cherche à se placer dans un état de déséquilibre. Un autre passage exprime aussi ce même état :«J’ai dû perdre pied». Au début de la chanson «Le cœur en téflon» et juste avant ce vers, on dit que le protagoniste se réveille et perd pied en se levant ; le fait de perdre pied signifie de perdre le contrôle de son corps, d’être déséquilibré.
De plus, on remarque la présence de certaines figures d’opposition qui expriment aussi cette posture, notamment dans la chanson «L’ascenseur» : «Entre la fête et la peur». Lorsqu’on parle de fête, on fait référence à un état d’esprit jovial, léger, riant et détendu. La peur fait plutôt référence à un état d’esprit de crainte, d’angoisse et d’appréhension; on désire fuir ces situations au lieu d’y rester, contrairement à la fête. L’opposition «entre le stress et l’apesanteur» exprime aussi cette sensation : lorsqu’on parle de stress, on associe cela à quelque chose de lourd, qui pèse sur l’esprit, mais l’apesanteur fait plutôt référence à un état de légèreté. Le protagoniste oscille donc entre les sensations opposées, il est bousculé et en déséquilibre. Cormier propose en quelque sorte de risquer, de se mettre en déséquilibre en empruntant l’ascenseur pour accéder au treizième étage, qui représente lui-même le risque : pour initier un changement, il est parfois nécessaire de faire certains sacrifices, d’essayer des choses, de prendre des risques…
En somme, l’album Le treizième étage présente une vision du monde dans lequel nous vivons. Cet album engagé pose en effet un regard sur la société, mais pas de façon descriptive ou statique : l’album est plutôt dynamique et rempli de mouvement, ce qui donne encore davantage d’ampleur à cette critique et à une volonté de faire bouger les choses. En ce sens, on peut conclure que Cormier utilise les mots en guise de mouvement de groupe : l’écriture est un peu sa façon de manifester. Les chansons de Cormier incitent à se remettre en question et à se placer en déséquilibre, et ainsi, à «monter au treizième étage», celui du risque. Visiblement, Cormier est quelqu’un qui apprécie sortir de sa zone de confort et tenter de nouvelles expériences. Sa collaboration avec Serge Fiori pour la trame sonore du spectacle du Cirque Éloize en hommage au répertoire du groupe Harmonium en est un exemple frappant : entre l’ascension au treizième étage et la virevolte d’une acrobate, il y va du même mouvement, du même risque…
[1] L’Encyclopédie Canadienne [En ligne] https://www.thecanadianencyclopedia.ca/fr/article/louis-jean-cormier (page consultée le 15 décembre 2019).
[2] Sylvain CORMIER. « Que peut un homme seul? », dans Le Devoir, édition du samedi 15 septembre 2012, p.E1.
[3] L’Encyclopédie Canadienne. op.cit.
[4] François HOUDE. « Parolier professionnel à temps partiel », dans Le Nouvelliste, édition du samedi 14 décembre 2013, p.36-37.
[5] Ibid.
[6] Sylvain CORMIER. op.cit.
[7] Pierre ROPERT. « D’où vient la peur du nombre 13? », dans France Culture [En ligne] 13 avril 2018. https://www.franceculture.fr/sciences/dou-vient-la-peur-du-chiffre-13 (page consultée le 25 octobre 2019).
[8] Ibid.
[9] L’INTERNAUTE. « Calembour » [En ligne] https://www.linternaute.fr/dictionnaire/fr/definition/calembour/ (page consultée le 23 février 2020).
[10] L’INTERNAUTE. « Carquois» [En ligne] https://www.linternaute.fr/dictionnaire/fr/definition/carquois/ (page consultée le 23 février 2020).
[11] LAROUSSE. « Flèche » [En ligne] https://www.larousse.fr/dictionnaires/francais/fl%C3%A8che/34078 (page consultée le 23 février 2020).
[12]Maude-Emmanuelle LAMBERT. « Grève étudiante québécoise de 2012 », dans L’Encyclopédie Canadienne [En ligne] https://www.thecanadianencyclopedia.ca/fr/article/la-greve-etudiante-quebecoise-de-2012-et-la-loi-78 (page consultée le 5 avril 2020).
[13] Ibid.
[14] RADIO-CANADA. « Il y a cinq ans… le printemps érable », Radio-Canada [En ligne] https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1016231/cinq-ans-printemps-erable-droits-scolarite-greves-etudiants (page consultée le 5 avril 2020).
[15] Geneviève BOUCHARD. « Une nouvelle corde à l’arc de Louis-Jean Cormier », dans Le Soleil [En ligne] Édition du samedi 15 septembre 2012. https://www.lesoleil.com/archives/une-nouvelle-corde-a-larc-de-louis-jean-cormier-266cd84cf897364dfe21e185081d78de (page consultée le 5 octobre 2019).
© Simone Records
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Médiagraphie
Album étudié
CORMIER, Louis-Jean. Le treizième étage, Simone Records, 2012.
Sur Louis-Jean Cormier
BOUCHARD, Geneviève. « Une nouvelle corde à l’arc de Louis-Jean Cormier », dans Le Soleil, édition du samedi 15 septembre 2012 [En ligne] https://www.lesoleil.com/archives/une-nouvelle-corde-a-larc-de-louis-jean-cormier-266cd84cf897364dfe21e185081d78de.
CORMIER, Sylvain. « Louis-Jean Cormier sur les routes et déroutes de l’amour », dans Le Devoir, édition du samedi 21 mars 2015 [En ligne] https://www.ledevoir.com/culture/musique/435010/louis-jean-cormier-sur-les-routes-et-deroutes-de-l-amour.
----------------. « Que peut un homme seul? », dans Le Devoir, édition du samedi 15 septembre 2012, p.E1.
G. MURPHY, Caroline. « Après avoir été coach à La Voix : « J’ai eu besoin de me retrouver » - Louis-Jean Cormier », dans Le Journal de Montréal, édition du dimanche 5 avril 2015 [En ligne] https://www.journaldemontreal.com/2015/04/05/apres-avoir-ete-coach-a-la-voix-jai-eu-besoin-de-me-retrouver---louis-jean-cormier.
HOUDE, François. « Parolier professionnel à temps partiel », dans Le Nouvelliste, édition du samedi 14 décembre 2013, p.36-37.
LAMBERT, Maude-Emmanuelle. « Grève étudiante québécoise de 2012 », dans L’Encyclopédie Canadienne [En ligne] https://www.thecanadianencyclopedia.ca/fr/article/la-greve-etudiante-quebecoise-de-2012-et-la-loi-78.
L’ENCYCLOPÉDIE CANADIENNE. « Louis-Jean Cormier », dans L’encyclopédie canadienne [En ligne] https://www.thecanadianencyclopedia.ca/fr/article/louis-jean-cormier.
RADIO-CANADA. « Il y a cinq ans… le printemps érable », sur Radio-Canada. [En ligne] https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1016231/cinq-ans-printemps-erable-droits-scolarite-greves-etudiants.
----------------. « La nomination de Louis-Jean Cormier comme juge à La Voix suscite de nombreuses réactions », sur Radio-Canada [En ligne] https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/628293/nomination-louis-jean-reactions.
----------------. « Le cirque Éloize proposera un voyage dans l’univers de Serge Fiori », sur Radio-Canada [En ligne] https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1130720/cirque-eloize-spectacle-serge-fiori-louis-jean-cormier.
ROPERT, Pierre. « D’où vient la peur du nombre 13? », sur France Culture, 13 avril 2018 [En ligne] https://www.franceculture.fr/sciences/dou-vient-la-peur-du-chiffre-13.
TREMBLAY, Karine. « Louis-Jean Cormier : impressions artérielles », dans La Tribune, édition du dimanche 22 mars 2015 [En ligne] https://www.latribune.ca/arts/louis-jean-cormier--impressions-arterielles-0557dd35f1e124d96071de7000aa3f50.